Reportage télévisé TLT
sur le concert au Bikini
du 08.01.2000


(diffusé le 09.01.2000)


(Retranscription de Véro. T)

 


Jean Jacques GOLDMAN et ses amis se sont chauffés la voix hier soir au bikini au profit de sinistrés de l’Aude.

Jour de foule route Lacroix Falgarde dès 19h30 devant l’entrée du bikini. 800 réservations à 180Frs la place, faites le calcul, la solidarité a opéré à 100%.

Christian VIDAL (Trésorier "Aude Solidarité" : Cest un grand geste de solidarité, et c’est vrai que nous, avec des gens comme Goldman et autres, nous avons l’habitude dans le département de l’Aude, cette solidarité se manisfeste chaque année pour les vendanges du coeur à Ouveillan.

Spectatrice (environ 45 ans) : Sincèrement on s’est posé la question si c’était pas un canulard, mais malgré tout on est venu parcequ’il fallait aider nos amis de l’Aude.

TLT : Bon, c’est qui votre préféré ce soir sur scène ?

Spectatrice : GOLDMAN (avec un air d’évidence ! ! )

TLT : (à une autre dame à côté) : et vous ?

La dame : GOLDMAN aussi.

TLT : (avec un aperçu des spectateurs dans la salle et on voit très distinctement LN !) Et rassurez vous Mesdames, s’il a fallu attendre un peu, ce n’était pas un canulard.. Un grand tour dans les coulisses pour s’apercevoir que le beau Jean Jacques n’est pas venu tout seul (on voit Maxime Leforestier assis sur un divan à côté de Liane Folie) Maxime LEFORESTIER : Ce matin en prenant l’avion, Jean Jacques nous a dit, tiens ce soir je vais chanter pour les inondations dans l’Aude, ben on vient ! !

JJG : "Ben c’est un exercice qu’on aime tous assez, juste prendre une guitare, en plus on est tous en train de répéter la tournée des enfoirés qui se passe dans des zenith de 8 000 personnes, avec 10 musiciens derrière, avec des répétitions très précises, donc là c’est l’occasion pour nous de …"

(Et JJG essayant d’avaler discrètement ce qu’il était en train de manger, le journaliste vient à son secours en lui suggérant…)

TLT : Le plaisir d’une petite salle aussi.

JJG : "Oui c’est ça, et pis je.., et pis bon, et pis d’être aussi devant un public quoi !" (avec un sourire en montrant d’un signe derrière lui la scène où on nous entend tous chanter).

TLT : et le premier à avoir goûter au public justement, c’est lui, MJ, le vieux compère de Jean Jacques, qui n’a pas eu la tâche facile.

MJ : C’est à dire, je suis allé pour euh, ouais chauffer un petit peu la salle, c’était moi la première partie, les autres ils sont tous beaucoup plus connus que moi, donc euh… (assis sur un canapé, buvant une canette de je ne sais quoi, Patrick FIORI assis à côté de lui, Maxime LEFORESTIER, assis, une assiette sur ses genous, Bruel, debout devant eux, entrain de tenir un dicours).

TLT : Oh ! quand même (le journaliste lui coupe la parole pour démentir le fait qu’il est moins connu que les autres).

MJ : oui mais je suis le seul étranger ! ! (et il rit).

TLT : sacré Michael, il oublie quand même sa vieille copine Carole FREDERICKS et aussi Garou.

(on les voit alots tous 2 dans les coulisses)

Carole FREDERICKS : les Toulousains, génial, chaleureux, tout ça et toujours là pour nous, ils nous oublient pas hein ! !

(Ensuite on voit Garou qui nous pousse une petite chansonnette très jazz comme il les affectionne. Il est obligé d’arrêter au moment où P.BRUEL lui enfourne une cuillère avec je ne sais quoi dessus).

(Image sur Obispo et l’un des organisateurs du concert).

TLT à Obispo : le bikini, vous connaissiez aussi l’ambiance Bikini ?

Obispo : (se tournant vers ce gars). Bikini ? Bikini ? on a jamais …

Ce gars : Jamais, Zazie a joué, qui d’autres euh, Marc Lavoine a joué, Jean Jacques a joué.

Obispo : Euh mais moi ils ont jamais voulu.

(Ensuite on voit Zazie qui nous fait un play-back sur "casser la voix" qu’on continue d’entendre sur scène,en faisant le pitre. Puis c’est Bruel qui descend l’escalier en colimaçon, tout sourire, en tapant dans les mains d’un autre qui se trouvait là).

(Un petit tour sur scène où Souchon est en train d’interprèter " foule sentimentale" rejoint par toute la troupe. Et une vue du public. Retour dans les coulisses où BRUEL se jette dans les bras de Garou en lui disant : " c’était super hein ! !" et Garou de répondre, "oui c’était beau").

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